Voici l’ordre du jour et les éléments factuels de la séance du 20 janvier 2025.
Les comptes-rendus officiels sont sur le site de la Mairie
La vidéo de la séance est indisponible, probablement du fait de l’absence d’un des conseillers chargé de filmer. Quelques minutes avant le début de la séance, la page Facebook de la Mairie affichait :
“Un problème technique de dernière minute ne nous permet pas de retransmettre le conseil municipal en direct ce soir. Avec non excuses ”Les remarques du comité de rédaction du Blog citoyen sont notés [Hors réunion]
1. Approbation compte rendu de la séance du 16 décembre 2024
2. Décisions prises en application de l'article L2122.22 du CGCT
Blandine Bamet-Monfray fait part à l'assemblée des décisions prises en application de L'article L 2122.22 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Le Conseil Municipal devra prendre acte des décisions prises du 17 septembre 2024
Entre le 17 septembre et le 31 décembre 2024, un total de 2,24 M€ ont été investis, avec en particulier 1,45 K€ pour la voirie, 102 K€ pour la crèche des Gravins et 34 K€ pour les études de la nouvelle cuisine centrale.
Matthieu Monfray obtient des précisions sur les investissements informatiques.
3. Subvention DETR 2025 pour la rénovation du terrain de motoball
Monsieur le Maire expose que le terrain de moto-ball nécessite une rénovation complète permettant d'assurer la pérennité de cette activité. Dans le cadre du projet, le terrain actuel répondant aux limites du règlement, il a été décidé d'agrandir en largeur le terrain. Les nouvelles dimensions de l'aire de jeu seront de 100 m x 60 m avec des dégagements latéraux de 2,50 m afin d'assurer la sécurité des arbitres et une prise d'élan pour rentrer sur l'aire de jeu avec les motos sans risques.
L'arrière des buts répondra aux directives du règlement de 6 m minimum avec une fosse de sable de 13,32 m x 4 m.
La structure actuelle est composée d'un matériau en partie supérieure de type stabilisé sur une épaisseur d'environ 6 cm. La structuration en profil inférieur semble être un remblai. Afin de repartir sur des dimensionnements en respect avec la normalisation infrastructure, et réhausserons avec un bordurage adapté le terrain de 15 cm. Par ailleurs, un bâtiment mécanique de 150 m2, avec une sortie directe sur le terrain, viendra se mettre en place. Il sera sécurisé afin d'éviter les intrusions. Un accès par l'arrière piétons et un accès des motos par l'avant avec des sanitaires 10 m2 et un espace stockage de 20 m2.
Ce type d'investissement entre dans le champ des opérations éligibles à la dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR) au titre de l'année 2025.
Le coût estimatif de l'opération s'élève à 503 191 € hors taxes et concerne les travaux suivants :
- Transformation du terrain de moto-ball et aménagement de vestiaires.
Le plan de financement proposé s'établit comme suit :
- Coût des travaux : 503 191 € HT
- Subvention sollicitée au titre de la DETR 2025 (50%) : 251 595 € HT
- Fonds propres sur budget primitif 2025 (50%) : 251 595 € HT
- Total financement : 503 191 € HT
- DONNER son accord pour la réalisation de l'opération d'investissement 2025 présentée ci-avant et le plan de financement correspondant.
- SOLLICITER l'autorisation de démarrage des travaux avant obtention de la subvention.
Mr la Maire précise qu’il y aura d’autres tranches de travaux et d'autres demandes de subvention.
Sandra Dorier demande le détail des coûts entre le terrain et les vestiaires 150 m2. Mr le Maire lui répond “moitié moitié”
Matthieu Monfray obtient confirmation que le terrain quelquefois inondable est constructible, du fait que la construction prévue sera “au dessus de la côte”.
Dominique Robert obtient confirmation que les coûts estimés concernent uniquement les travaux et sont hors études (46 K€).
Mr le Maire ajoute que des systèmes de surveillance sont prévus dans une 2e tranche avec le verdissement du site.
Pierre Mirailles, rappelle que le premier chiffrage était de 1 M€.
Mr le Maire confirme, et répond à une question au sujet de l’ancien terrain de l’Auto Modélisme du Beaujolais, qu’un aménagement d'agrément pour les habitants est prévu pour plus tard …
Vote à l’unanimité.
[Hors réunion]
4. Mise en place de la fongibilité des crédits en section de fonctionnement et d'investissement
Ladite instruction M57 donne la possibilité à l'exécutif, sur autorisation de l'assemblée délibérante, de procéder à des virements de crédits de chapitre à chapitre au sein de la même section, dans la limite de 7,5 % des dépenses réelles de chaque section, à l'exclusion des crédits relatifs aux dépenses de personnel.
Cette fongibilité dite asymétrique permet notamment d'ajuster, dès que le besoin apparaît, la répartition des crédits sans modifier le montant global des sections. Elle permet aussi de réaliser sans attendre des opérations purement techniques. Ces dispositions contribuent à améliorer l'efficacité de l'exécution budgétaire et la réactivité opérationnelle.
L'assemblée délibérante est informée, alors, des virements de crédits opérés lors de sa plus proche séance, dans les mêmes conditions que la revue des décisions prises dans le cadre de l'article L2122-22 du Code général des collectivités territoriales.
Ainsi, il est proposé au Conseil Municipal d'autoriser le Maire à procéder à des virements de crédits de chapitre à chapitre au sein de la même section, dans la limite de 7.5 % des dépenses réelles de chaque section et à signer tout document s'y rapportant.
Vu l'article L. 2141-1 du CGPPP qui stipule qu'un bien qui n'est plus affecté à un service public ou à l'usage direct du public ne fait plus partie du domaine public à compter de l'intervention de l'acte administratif constatant son déclassement,
Vu les documents afférents à la gestion du bien précité, notamment le rapport annexé à la présente délibération.
Considérant que le situé au lieu-dit le Cartelet, en bordure du Chemin du Midi n'est affecté à aucun usage public ou service public,
Considérant que ledit bien ne présente pas d'utilité publique dans le cadre de la gestion patrimoniale de la commune,
Considérant qu'il convient de mettre fin à l'affectation de ce bien au domaine public pour permettre une gestion plus adéquate et éventuellement l'intégrer au domaine privé de la commune dans le cadre de ses prérogatives administratives,
Considérant que la désaffectation du bien précité ne porte atteinte à aucune autre affectation publique et respecte les principes de gestion des biens publics énoncés dans le Code général de la propriété des personnes publiques,
Considérant que cette désaffectation est une condition préalable au déclassement éventuel du bien et à une future cession ou réaffectation dans un cadre autre que celui du service public,
Considérant que l'ensemble des procédures préalables à la présente délibération ont été respectées, y compris les consultations nécessaires,
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, devra décider :
Article 1: Désaffectation du bien public
Le bien situé au lieu-dit le Cartelet, en bordure du Chemin du Midi (cf. plan annexé) est désaffecté de son affectation à compter de la présente délibération, en raison de l'absence d'utilisation pour un service public. Cette désaffectation met fin à l'affectation de ce bien à un usage public ou à un service public.
Article 2: Notification de la désaffectation
Le Maire est chargé d'assurer la publicité de la présente décision conformément aux règles de transparence des actes administratifs. Cette publicité sera réalisée par voie d'affichage, afin d'en assurer l'opposabilité aux tiers.
Article 3: Entrée en vigueur
La présente délibération entre en vigueur immédiatement après son adoption et sera exécutée sous la responsabilité du Maire.
Paul Cateland (Directeur Général des Services de la Mairie) reprend la main, pour expliquer simplement la procédure qui permet de transformer un terrain du domaine public en domaine privé (désaffection puis déclassement).
Vote à l’unanimité, sans aucune question !
7. Déclassement d'un bien du domaine public suite à la désaffectation
Vu le Code général de la propriété des personnes publiques (CGPPP), et notamment ses articles L. 2122-1 et L. 2122-9 relatifs à la gestion des biens du domaine public et du domaine privé,
Vu l'article 2141-1 du CGPPP qui stipule qu'un bien qui n'est plus affecté à un service public ou à l'usage direct du public ne fait plus partie du domaine public à compter de l'intervention de l'acte administratif constatant son déclassement,
Vu la délibération du Conseil Municipal en date de ce jour autorisant la désaffectation du bien situé au lieu-dit le Cartelet, en bordure du Chemin du Midi
Considérant que le bien situé au lieu-dit le Cartelet, en bordure du Chemin du Midi a été désaffecté de son affectation à un service public ou à un usage public,
Considérant que la désaffectation constitue une étape préalable à la procédure de déclassement du bien du domaine public,
Considérant que le bien, une fois déclassé, pourra être transféré dans le domaine privé de la commune et, à terme, être cédé ou affecté à un autre usage conforme aux règles de gestion des biens publics,
Considérant que cette démarche est réalisée dans le respect des principes de gestion rigoureuse du patrimoine public et dans le cadre des normes légales en vigueur,
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, décide :
Article 1: Déclassement du bien public
Le bien situé au lieu-dit le Cartelet, en bordure du Chemin du Midi (cf. plan annexé), n'étant rattaché à aucun usage public ni service public et ayant été désaffecté par délibération du 20 janvier 2025, est déclassé du domaine public pour être transféré dans le domaine privé de la commune. Ce déclassement est prononcé à compter de la présente délibération.
Article 2: Justification du déclassement
Ce déclassement intervient après la désaffectation du bien, conformément aux dispositions du Code général de la propriété des personnes publiques. Il est justifié par la non-utilisation du bien pour un service public, son inutilité pour l'intérêt public, ainsi que son affectation à un projet de construction structurant pour la commune.
Article 3: Entrée en vigueur
La présente délibération entre en vigueur immédiatement après son adoption et sera exécutée sous la responsabilité du Maire.
Vote à l’unanimité, sans aucune question !
8. Maire et délivrance d'un Permis de Construire en étant intéressé (point ajouter à l’ordre du jour principal)
Vu le code général des collectivités territoriales;
Vu l'article le code de l'urbanisme, en particulier l'article L. 422-7;
Vu la délibération n° 2024-52 du 23 septembre 2024 désignant Madame Olivia DEBATY pour se prononcer sur la délivrance ou non du permis de construire à déposer par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS ;
Vu la demande de permis de construire à déposer par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS sur un ensemble foncier comprenant (sans nécessairement s'y limiter) les parcelles cadastrées section C n° 1097, 1100 et 302, qui appartiennent à M. Patrick BAGHDASSARIAN;
Considérant que Monsieur le Maire, Patrick BAGHDASSARIAN, est propriétaire des parcelles cadastrées section C n° 1097, 1100 et 302, qu'il envisage de vendre. Un compromis a été signé. Il conditionne la réitération de la vente à l'obtention, par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS, d'un permis de construire purgé de tout recours. La demande de permis pourrait porter sur d'autres parcelles que celles qui appartiennent à Monsieur le Maire.
Considérant que Monsieur le Maire est ainsi directement intéressé par le projet qui doit faire l'objet d'une demande de permis de construire à déposer par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS.
Considérant qu'en application de l'article L. 422-7 du code de l'urbanisme : “Si le maire est intéressé au projet faisant l'objet de la demande de permis de construire soit en son nom personnel, soit comme mandataire, le conseil municipal de la commune de Saint-Georges-de-Reneins désigne un autre de ses membres pour prendre la décision”.
Considérant que le conseil municipal a en conséquence été invité à désigner un conseiller municipal pour prendre la décision sur la demande de permis de construire à déposer par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS ;
Considérant que par la délibération n° 2024-52 du 23 septembre 2024, Madame Olivia DEBATY a ainsi été désignée pour se prononcer sur la délivrance ou non du futur permis de construire à déposer par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS ;
Considérant que cette délibération, qui mentionne une demande de permis de construire relative aux seules parcelles cadastrées section C n° 1097, 1100 et 302 appartenant à Monsieur le Maire, alors que le projet de la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS comprendra ces parcelles sans s'y limiter, pourrait ne pas fonder régulièrement la compétence de Madame Olivia DEBATY pour se prononcer sur la demande de permis de construire à déposer par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS ;
Considérant que le conseil municipal est en conséquence de nouveau invité à désigner un conseiller municipal pour prendre la décision sur la demande de permis de construire à déposer par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS, pour laquelle Monsieur le Maire est donc intéressé au sens de l'article L. 422-7 du code de l'urbanisme.
Le conseil municipal, après délibération, devra :
1° ABROGER la délibération n° 2024-52 du 23 septembre 2024 désignant Madame Olivia DEBATY pour se prononcer sur la délivrance ou non du futur permis de construire déposé par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS.
2° DESIGNER Mme Olivia DEBATY, conseillère municipale, pour prendre la décision sur la demande de permis de construire à déposer par la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS sur un ensemble foncier comprenant (sans nécessairement s'y limiter) les parcelles cadastrées section C n° 1097, 1100 et 302 appartenant à Monsieur le Maire.
3° AUTORISER en conséquence Mme Olivia DEBATY à prendre toute décision sur la demande de permis de construire considérée, étant précisé que la décision de permis, ou de refus de permis, mentionnera sous sa signature: « Mme Olivia DEBATY, par désignation d'une délibération du conseil municipal en date du 20 janvier 2025, le Maire étant intéressé au projet ».
4° RELEVER que le Maire n'a pas participé au débat relatif à la présente délibération, en se retirant de la salle du conseil, et qu'il n'a pas participé à son vote
Bernard Grosbost précise que ce projet englobe les terrains de Patrick Baghdassarian, de Michel Labalme et le fameux chemin agricole à présent dans le domaine privé.
Matthieu Monfray obtient confirmation qu'il y a des discussions avec le promoteur et que le projet prévoit des logements collectifs.
Dominique Robert demande si l’on peut consulter le projet du promoteur Les nouveaux constructeurs ?
Bernard Grosbost répond qu'il est à disposition en mairie et que la commission urbanisme se réunit en semaine.
Vote favorable à l’unanimité
Sandra Dorier demande que les membres de la commission urbanisme participent à l'étude de cette demande de permis de construire avec le promoteur.
Jean-Christophe Decavele demande des précisions sur les terrains concernés.

Quelle est l’historique de l’acquisition de ces terrains agricoles (non constructibles à l’origine par définition et y compris la donation de Francis Bost et les échanges de terrains avec la famille Garnier) ?
Si la commune reste propriétaire de ce chemin agricole désaffecté et déclassé dans le domaine privé, à quel prix sera-t-il vendu au promoteur (ou à Mr le Maire, propriétaire des 3 parcelles qui entourent le chemin) ?
Si ce chemin agricole était resté public, aurait-il permis un cheminement en mode doux (piétons, poussettes et vélos) entre le futur Cartelet et le chemin du Midi ?
Pourquoi désigner Olivia DEBATY, conseillère municipale, pour prendre la décision de la demande de permis de construire de la société LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS ?
Bernard GROSBOST, 1er adjoint au Maire chargé des affaires scolaires et de l’Urbanisme, ne remplit pas les conditions ?
Lors des discussions évoquées en séance avec le promoteur et Olivia DEBATY (voir la commission urbanisme), Mr le Maire est-il présent ?
Ce nouveau périmètre du projet Cartelet respecte-t-il le PLU 2024 et les préconisations de la commissaire enquêtrice du 10/4/2024 (coefficient d’emprise au sol, limitation de l’usage des terres agricoles, minimum de 270 logements sur l’OAP 1 Le Cartelet …) ?
De plus, contrairement à ce qui écrit dans l’article 3 des présentes délibérations 6 et 7, l’entrée en vigueur ne peut pas être immédiate après l’adoption. Les délibérations doivent en effet être transmises en Préfecture pour un contrôle de leur légalité ?
Enfin, il est bon de rappeler la charte éthique de l'élu local mise en place par l'Association des Maires de France. Chaque élu de notre conseil municipal l'a-t-il signé en début de mandat ? (cliquez ici pour la télécharger).
En cette période difficile pour de nombreux citoyens et où l'action de certains politiques est suspecte, nos élus locaux ne devraient-ils pas prêter attention, s’abstenir quand il le faut et être exemplaires ?
Matthieu Monfray s'inquiète des déviations nécessaires pour la fête des conscrits, en particulier avec les travaux boulevard Emile Guyot.
Mr le Maire répond que ces travaux devraient se terminer cette semaine et que le cas échéant la déviation temporaire sera plus contraignante.
Sandra Dorier rappelle le danger du passage piéton dans la virage sur la route du Beaujolais en direction du Gandoger (déjà évoqué le 22/1/2024)
Mr le Maire répond que le Département est responsable de cette route du Beaujolais et que les bonnes solutions ne sont pas forcément applicables.
Pierre Mirailles demande des nouvelles du carrefour place de la Fontaine, suite à la destruction de la Maison CROZET ancienne boulangerie de Nuits
Mr le Maire attend que le SYDER enfouisse les réseaux chemin des vignerons et route du Bois. Le projet d'aménagement sera présenté aux référents de quartier.
Florence Ducoté expose les ventes de janvier et la fête des conscrits de début février.
Voici un rappel des questions des citoyens et des lecteurs du Blog qui restent à ce jour sans réponse officielle de la Mairie :
Où en sont les études de réhabilitation du centre-bourg qui devaient être livrées fin juin 2022 (conseil du 16 novembre 2021) ?
Quelles sont les suites du recours gracieux et contentieux au tribunal administratif, de la commune de St Georges contre la CCSB et sa décision concernant le choix des pompiers sur l’implantation de leur caserne à Belleville (absence du maire lors de la réunion du 29 septembre 2022) ?
Où en est-on avec le projet de réhabilitation du Foyer Municipal, qui a fait l’objet de plusieurs études et d’un budget de 600 K€ reconduit depuis 3 ans ? (voir notre article du 12/12/2019). La subvention du Département de 150 K€ versée à la commune en 2019, a été rendue en juillet 2023. De même, la subvention de 24 K€ pour le 2e WC construit hors délai sur la place de la Caisse d’Epargne, a été rendue en avril 2024. Le futur musée LUDNA aurait sa place dans ce Foyer Municipal réhabilité ?
Quels projets sont prévus, suite à l’achat du garage MERCEDES par la Mairie en octobre 2023 pour 1,4 M€ (on parle de déménager les services techniques, pour permettre à La Pétanque Reneimois de s’installer dans les locaux du Parc Montchervet) ?
Une subvention de 100 K€ a été versée en mai 2022 par le Département, pour des travaux de sécurisation de l'EHPAD les Jardins d'Anne. Où en est-on aujourd’hui ?
L'adjoint au maire à la communication s'est engagé à publier régulièrement les documents officiels. A ce jour, seuls les budgets de 2021 sont disponibles sur le site officiel de la Mairie. Pourquoi ? En attendant, vous trouverez tous les documents de 2024 en cliquant ici.
Le 10 avril 2024, la commissaire enquêtrice a remis son rapport de l’enquête publique, portant sur la modification n°2 du PLU de St Georges avec 11 recommandations. Vont-elles être retenues (voir notre article PLU 2024) ?
Le Progrès du 23/1/2025 : Bientôt de grands travaux au moto-ball club ?
RépondreSupprimerLundi 20 janvier, le conseil municipal s’est réuni avec plusieurs points, dont un projet de rénovation du moto-ball club mais aussi un projet de construction sur des parcelles appartenant au maire ...
Les Vœux du Maire 2025 : Convivialité, Reconnaissances et Ambitions pour l’Avenir (selon le Saint Georges Info de la Mairie).
RépondreSupprimerLe vendredi 17 janvier 2025, la salle de La Pirogue a accueilli les Vœux du Maire, un moment clé pour faire le point sur l’année écoulée et partager les projets à venir pour Saint-Georges-de-Reneins. Entre annonces officielles, remerciements, distinctions et une bonne dose de convivialité, les reneimois présents ont profité d’une soirée chaleureuse et animée, clôturée autour d’un buffet mettant à l’honneur les saveurs locales ...
Le Progrès du 19/1/2025 : Des vœux, des hommages mais peu d’annonces ...
RépondreSupprimerCe vendredi 17 janvier a été consacré à la traditionnelle cérémonie des vœux que le maire Patrick Baghdassarian et les conseillers ont présentés aux administrés ...
Monsieur Le Maire vend des terrains, ma foi ,si tout est en ordre , on dira que c'était un bel investissement ,et ne soyons pas hypocrites , nombreux sont ceux qui souhaiteraient pareille réussite , puisque malheureusement le foncier atteint de tel prix qu'il rend la construction hors de prix pour beaucoup .
RépondreSupprimerJe me permets de suggérer à Mr Le Maire avec tout le respect qui lui est du , de faire bénéficier pour partie du fruit de cette vente , à l'Ephad des Jardins D'Anne , Ce serait geste de grande noblesse pour un établissement qui lui tient a cœur et qui rencontre nombres difficultés ....
Le CM vote avec un ensemble parfait la capacite constructible des terrains de Monsieur le Maire et de Monsieur Labalme . Rien de surprenant , mais néanmoins cette belle unanimité aurait pu être servie au préalable par quelques questions ... A tout le moins de la part de certains conseillers ( ils se reconnaitront ...) qui s'étaient montrés beaucoup plus incisifs dans leurs commentaires suite à l'enquête de révision du PLU , vis a vis de citoyens qui exprimaient leurs demandes de voir leurs terrains passés du statut agricole à constructible ...
RépondreSupprimerEn effet, fort de ce vote à l'unanimité des membres du CM concernant les terrains de M. le Maire au Cartelet, il est utile de rappeler le commentaire que M. Cherpeau, membre élu du conseil municipal, avait adressé face aux demandes de certains citoyens lors de cette enquête publique qui a précédé la révision du PLU en mars dernier. Je me contente de restituer ci-dessous les propos de M. Cherpeau, ainsi que les réactions de soutiens qu’il avait reçu de M. Franck Joly (adjoint au Maire) et de M. Jean-Christophe Decavèle (membre élu de l'opposition). Quel dommage que tous ces élus aient été soit absent, soit frappés d'amnésie lors du dernier CM. Les principes d’éthique qu’ils défendaient en mars dernier et qu’ils opposaient à certains citoyens de la commune auraient mérité d’être rappelés.
SupprimerLe 13/03/2024, M. Cherpeau, écrivait sur la version numérique du St Georges Infos :
"(...)A TOUS CEUX QUI ONT FAIT DES COMMENTAIRES: Ne devraient être déclarées pertinentes que les remarques qui ne concernent pas des intérêts privés (sauf corrections d’erreurs éventuelles) mais des intérêts collectifs.
Vous allez probablement penser que faisant partie de l’équipe municipal, mon commentaire est « télécommandé », mais il n’en est rien, il n’émane que de moi et j’en assume totalement la paternité. Que ceux qui croient le contraire viennent me le dire en face ou soient oubliés dans les limbes de l’Histoire.
Oui, vous l’aurez remarqué, je suis remonté. Remonté contre cette attitude qui veut que parce que quelqu’un qui a un terrain non constructible aimerai bien faire la culbute et qu’il soit rendu constructible afin de gagner beaucoup d’argent. Ils oublient que dans leurs demandes véhémentes aucune garantie d’aucune sorte ne leur a été donnée lors de l’achat du terrain, tout simplement car c’est illégal et impossible à prévoir sur plusieurs décennies.
Si la stratégie de l’Etat déclinée jusqu’à la commune établi qu’une zone soit déclarée constructible, ce ne saurait être pour servir des intérêts individuels. Pour ceux qui sont concernés car propriétaires, et bien tant mieux pour eux, mais en aucun cas ils devraient être admis à faire des doléances en ce sens.
Merci de m’avoir lu jusqu’ici.
Cordialement.
Hervé CHERPEAU
Anonyme15/03/2024 09:38
Oui Hervé , pour le courrier anonyme distribué dans des boîtes aux lettres : des individualistes qui prônent leur intérêt personnel contre le principe de l’intérêt général que doivent appliquer les élus. ils portent aussi la confusion dans le « qui fait quoi », et qui prend les décisions.
Comme beaucoup de sujets communaux, il y a toujours un conflit entre l’intérêt général et l’intérêt personnel.
Le fait de passer de 0,2 à 0,4 est à mon sens pour éviter d’empiler des maisons ou des immeubles en hauteurs pour favoriser les surfaces plus grandes : et en économique plus rare donc plus cher
Franck JOLY
Anonyme21/03/2024 17:00
Merci Hervé pour cette prise de parole.
Cela fait honneur à ton statut d’élu de notre belle commune.
J’adhère à ton propos.
Jean Christophe Decavèle
Étant dans une activité de conseil juridique, j’ai lu attentivement votre chapitre sur le potentiel conflit d’intérêt.
RépondreSupprimerLa définition de conflit d’intérêts met en évidence 3 critères :
🔲 Le responsable public doit détenir un intérêt.
🔲 Cet intérêt doit interférer avec l’exercice d’une fonction publique.
🔲 Cette interférence doit “influencer ou paraître influencer l’exercice indépendant, impartial et objectif d’une fonction”.
Vous écrivez que dans les 3 parcelles (propriétés de Mr le Maire) intégrées dans le futur projet, l’une était absente au début du projet en 2015. Avec l’implication de l’élu dans l’opération (voir le conseil municipal du 5/9/2022), Mr le Maire coche les 3 cases.
Concernant la désaffectation du domaine public du chemin communal en question dans le secteur du Cartelet, ce qui n’a pas été précisé lors de ce conseil municipal, c’est qu’en matière de voie publique déclassée, l’article L.112-8 du Code de la voirie routière dispose que « les riverains des voies ont une priorité pour l’acquisition des parcelles situées au droit de leur propriété et déclassées par suite d’un changement de tracé de ces voies ou de l’ouverture d’une voie nouvelle ». Au-delà, en vertu de l'article L2131-2 du code général des collectivités territoriales, la commune n'a pas l'obligation de transmettre la délibération du conseil municipal au préfet pour contrôle de légalité. Elle est exécutoire à compter de sa publication ou affichage. Toutefois il reste à vérifier qu’une enquête publique ne soit pas imposée lorsqu'un chemin rural qui cesse d'être affecté à l'usage du public est envisagé d’être vendu par la commune.
RépondreSupprimerFort des textes ci-dessus, il n’est donc pas pure fiction d’imaginer que le propriétaire des 3 parcelles en question aura priorité pour l’acquisition de cette voie, une fois celle-ci déclassée dans le patrimoine « privé » de la commune. En poussant un peu plus la réflexion il n’est pas impossible d’imaginer qu’une vente à l’euro symbolique puisse être statuée lors d’un prochain conseil municipal.
Bonjour le blog, j’ai les réponses à vos questions.
RépondreSupprimerLes terrains évoqués lors de cette séance du conseil municipal intéressent aussi le promoteur pour construire plusieurs logements collectifs avec un accès direct sur le chemin du Midi. Le promoteur a proposé d’acquérir les terrains constructibles pour 80 € le m2. Les 3 parcelles de Monsieur le Maire représentent 10 000 m2, soit 800 000 €. Cette somme importante est suffisante pour financer la rénovation du terrain du Motoball et des vestiaires. A l’instar de Francis BOST qui a cédé son terrain de Vallières pour l’aménager en terrain de foot dans les années 40, Mr le Maire prévoit sans doute et à son tour de financer celui du Motoball. Jusqu’à preuve du contraire ...
Le prix aujourd'hui de ces terrains "constructibles" n'est pas de 80 € le m2, mais de 90 € le m2.
SupprimerAvec le don du terrain de Francis BOST dans les années 40, puis la revente à la SCI ASTRA en 1967 pour la construction des 2 immeubles, la plus-value doit être conséquente !
Mr le Maire de Saint Georges a en effet pris toutes les contre mesures nécessaires pour éviter d’être mis en conflit d’intérêt, notamment par son absence lors du vote de la délibération, qui est bien précisée.
RépondreSupprimerCeci étant, au-delà de la stricte forme légale, on peut en effet douter de la probité du maire, car tous les autres actes à venir (compromis et autres négociations) restent du domaine privé donc sortent du champ de la transparence de l’opération. Personne n’aura donc plus aucun droit de regard pour la suite et on ne sait donc s’il va pouvoir abuser de sa position maintenant que toutes les voies sont ouvertes (sans compter le fameux déclassement du chemin communal) ...