Aucun signe de pitié sur ton visage,
Il faut parer au plus pressé.
Sans doute redresser son visage,
Affalé, tuméfié, sur le gravier.
Un collègue apporte la civière,
Pour poser très délicatement,
Ce corps gisant dans la poussière,
Presque morte : mon enfant !
Tu a eu le geste qui sauve,
Et tout ton savoir te revient.
Au moindre appel, jour, nuit, aube,
Tu accoures comme si, rien,
Ne pouvait briser ton coeur,
Sans état d'âme, sans chagrin.
On devrait te payer en or,
Pour être là à nous veiller,
Fier, courageux et bénévole,
Que c'est noble d'être pompier.
Toi qui de suite est arrivé,
Ce onze août dans mon village,
Un merci me semble léger.
Toi le héros à qui je rends hommage,
C'est ma fille que tu as sauvé,
Pompier !
A toi aussi Simon Laget et à toi Jérôme Suard, parmi tant d'autres qui sont mes lecteurs fidèles ! On ne vous dit sûrement pas assez combien vous nous êtes chers !"
Michel Giraud témoigne également : "Je me souviens bien de cette intervention quand je fessais partie du VSAB de St Georges. Ma plus grande récompense fût de revoir le visage magnifique de ta fille lors de ton invitation. Une intervention qui ma marqué, avec la fierté d'avoir bien fait quand nous sommes allés à ton invitation. Merci pour cette reconnaissance et bonne continuation à vous".

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