Les *cons* UNIVERSELS

*Gros mot* insultant il y a encore quelques années, il est devenu un signe de reconnaissance et même, une expression sympathique dans le midi de la France. Avec sa verve décapante, Michel Audiard les avait déjà repérés dans ses dialogues hilarants. Un confrère Reneimois nous a confié d'autres définitions, concocter par un autre compère. A vous de voir.

Autrefois, les gens qui restaient chez eux sans parler à personne étaient qualifiés de *cons* finis.  Aujourd'hui ils sont simplement des *cons* finés.
Le *con* finement nous est parvenu par les chefs des gouvernements s'adressant à leurs *cons* citoyens. 
Tout cela est *con* sternant. Cela commence à nous mettre la *con* pression et nous entendons de nombreux potes se *con* plaire dans la complainte médiatique.
Faute de mieux nous nous tournons vers l'église, ce lieu *con* sacré pour demander à Dieu de *con* jurer ce fléau. On nous dit alors que, pour ne pas être *cons* damnés, nous devrions pour pénitence nous *con* fesser.
À la maison, pas toujours facile de *con* tinuer à bien s'entendre avec nos *cons* pagnes ou nos *cons* joints. Il faut faire des *cons* promis et prendre quelques *cons* primés pour faire passer la pilule.
Nous en sommes *cons* vaincus, il faut rester à la maison dans le *con* fort, nous limiter à manger des plats *cons*gelés et penser avec *con* passion à ceux moins bien lotis.
Bientôt tout ira mieux et le virus aura été *con* battu avec succès. Mais restera la facture à payer. Et là, soyez-en sûrs, nous serons alors tous *CON* cernés.
Produit en mode dégradé, par Rions Con Finement, où l'on découvre comment le professeur Raoul(t) a mis au point son traitement contre le COVID-19. Librement inspiré de la mythique scène de la cuisine des tontons flingueurs.
Et pour le plaisir, “moi les dingues j' les soigne” :

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